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dimanche 19 juillet 2009

Fr freddy bengama : ma vie chrétienne « Mon témoignage »

FAIRE Le 1er PAS. « Mon témoignage » Pour la 1ère fois que le Seigneur m'avait parlé, j'étais encore dans le monde (pas encore reçu Jésus dans ma vie), je ne me souviens plus vraiment de la date exacte, mais c'était entre 1988 et 1989. Ouvrier peintre, j'étais en déplacement à Pithiviers 45300, une mission de six mois, un chantier dans une usine pour la rénovation en peinture, une bonne ambiance avec une équipe formidable et un chef très sympa, quelques semaines passées, j'ai commencé à faire des cauchemars, l'hôtel était près d'une église, on entendait sonner la cloche, gong, gong, gong, trois fois, en dormant je disais trois heures du matin, deux ou trois minutes plus tard, le cauchemar commencé, 1ère , 2ème et 3ème nuits pareilles, toujours à la même heure, je voyais un esprit maléfique entrant dans la chambre, venait sur moi et m'immobilisais , je pleurais, j'étais sans défense face à cet esprit qui m'intriguait, c'était vraiment pénible, je n'en pouvais plus, j'avais peur, trois nuits successives des cauchemars et le matin avant de commencer le travail, j'ai parlé à mon chef, je lui ai dit que je n'en pouvais plus vivre encore cette horreur et ce soir, j'aimerais bien renter à Paris, il m'a dit, moi, j'ai besoin de toi encore ici, il faut avancer le chantier, on est un peu en retard et moi je voulais à tout prix renter et il m'a posé une question, est-ce que tu crois en Dieu ? J’ai répondu oui, mais je ne suis pas vraiment pratiquant, il m'a dit, reste, cette nuit avant de dormir, mets-toi à genou et prie le bon Dieu, si ça continue, alors je te laisserai rentrer à Paris. La nuit venue, avant de dormir, je me suis agenouillé et j'ai commencé à prier, vraiment j'ai imploré le bon Dieu et après j'ai dormi, toujours à la même heure, après avoir entendu la cloche sonner, trois gongs et quelques minutes après le cauchemar commencé, cet esprit entré dans la chambre comme d'habitude et m'immobilisait, je pleurais, mais cette fois-ci je pleurais le nom de Jésus, d'un coup j'ai senti une force en moi, ça m'a libéré et j'ai commencé à tabasser cet esprit maléfique, qui a pris la fuite et j'ai entendu une voix qui me parlait « je suis venu à ton secours et je te dis de lire l'évangile de Daniel au chapitre 10 et j'ai dit mon Dieu quel versé 11, 12, 13 et je me suis réveillé. « Dn 10 : 11-13 Puis il me dit : Daniel, homme bien-aimé, comprends les paroles que je vais te dire, et tiens-toi debout à la place où tu es ; car je suis maintenant envoyé vers toi. Lorsqu'il m'eut dit cette parole, je me tins debout en frémissant. Il me dit : Daniel, sois sans crainte ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je suis venu. Le chef de royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici que Michel, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. »Le matin j'ai vu mon chef, il m'a dit, ça va, j'ai répondu, ça va très bien et je lui ai posé une question, est-ce que dans la Bible, il y a l'évangile de Daniel, il m'a répondit, je ne sais pas, tu n'as pas de Bible, j'ai dit, non, il me dit, achète pour voir. Pour la 1ère fois dans ma vie, en rentant à Paris pour le week-end, j'ai acheté la Bible, arrivé chez moi en tremblant, j'ai ouvert la Bible et j'ai vu l'évangile de Daniel, j'ai senti l'esprit de Dieu en moi, je pleurais des joies et j'ai dit, jamais plus seul. À Pithiviers, j'avais fini ma mission avec succès et aujourd'hui je suis devenu patron de ma propre entreprise E.u.r.l. Sabaot, gloire à Dieu.
http://www.sabaot.fr/ Mon frère, ma sœur, jamais plus seul, fais ton 1er Pas, ouvre ton cœur et reçois Jésus-Christ comme ton seigneur et ton sauveur, ta vie ne sera plus jamais la même. Jn 15 : 5 Moi, je suis la vigne ; vous les sarments, celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors comme le sarment et il se dessèche ; on les ramasse et on les jette au feu et ils brûlent. Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et vous l'aurez.